Ravi de voir dans les prés qui touchent à la zone alluviale de Derborence des coquelicots. Ils m’ont aussitôt rappelé les collines de Miraflores à la sortie de Madrid où nous pique-niquions dans les années 1975. Je croyais cette végétation rare car toute sauvage désormais disparue. Or, l’an dernier, comme je traversais la région à vélo en route pour l’Escorial, j’ai retrouvé la même sensation de bonheur lié à la profusion des fleurs.