Dans le local en cave du club gallicien de Genève. Les coupes, les médailles, les maillots et les écrans de téléviseurs devant lesquels fument les supporters sont toujours là, mais le personnel est devenu mercenaire: des Sud-américains, un Philippin. Ici comme ailleurs l’argent vient de l’emporter. La famille de galliciens, après des années de travail, a fait son calcul et sous-traite.