Etat

Au bout de dix ans d’un chaos admin­is­tratif sans nom dans la ges­tion de mon dossier fis­cal ayant entraîné des frais arbi­traire­ment mis à ma charge, j’ai saisi l’an dernier un fidu­ci­aire, l’ai payé, me suis acquit­té d’un droit de dépôt et j’ai enfin déposé un argu­men­taire com­plet prou­vant que la gabe­gie de l’E­tat de Genève assor­tie de l’in­com­pé­tence de fonc­tion­naires aux noms exo­tiques qui ont autant de rigueur que leurs sociétés d’o­rig­ine méri­taient répa­ra­tion pour tort moral (blocage des mes comptes, dénon­ci­a­tion pénale auprès de mes parte­naires de tra­vail, etc.) et financier. Or, par le cour­ri­er ce matin, je reçois une let­tre non-recom­mandée m’indi­quant que suite à mon recours auprès du Tri­bunal admin­is­tratif l’in­ci­dent et clos et que je n’ai qu’à sign­er le doc­u­ment ici joint puis à pay­er l’ensem­ble des frais qui me seront bien­tôt sig­nifiés. Ain­si est-il prou­vée que la mal­hon­nêteté de l’E­tat, loin d’être une con­tin­gence, est une méth­ode de gestion.