La société papoue, racontent des voyageurs ayant traversé l’île l’an dernier, protège celui qui est dans l’ignorance de ses mœurs. A la nuit tombée des portes s’ouvrent, des familles introduisent les touristes dans leur salon, les nourrissent, les mélangent à leurs enfants. Elles ne les laisse repartir que la matin. Apparaît ici la nécessité de se définir comme normal face aux menées criminelles de certains. Faute d’adopter cette attitude et d’en faire une valeur, la société entière basculerait dans le diabolique. Autorisant la propagation du mal par le fait de l’indifférence, la liberté serait perdue et la société péricliterait. Reste à savoir pourquoi ce mal incarné dans des bandes de voyous suscite des actes de sauvegarde de l’innocent plutôt qu’un projet d’éradication des criminels.