En 1990, j’étais anti-Européen. Je le suis plus que jamais. Des amis qui ne juraient que par l’Union ont changé leur fusil d’épaule. Ils aiment à croire que j’ai fait comme eux. Afin que les choses soient dites s’ils persistent à changer d’avis quand le vent tourne, j’estime que l’immigration massive est une calamité pour la démocratie, et que la croissance artificielle qu’elle permet détruit et la culture et l’esprit.