Avant le départ pour Berlin travail assidu sur le dernier volet du Tryptique de la peur consacré au gonzo pornographique. Raisonnements compliqués dont je retrouve sans peine la logique et le sens mais qui risquent de rebuter le lecteur. Si j’éclaircis et m’autorise la redondance, je perds le style, si je tiens la hauteur de ton, je perds en clarté. Dilemme qui éclaire le langage rébarbatif des philosophes dont les ouvrages servent avant tout de mise au propre des concepts dont ils n’ont avant écriture qu’une solide intuition, par opposition aux littérateurs qui en adoration devant la phrase privilégient musicalité et bon mots.