Afin de satisfaire les lobbys industriels

Afin de sat­is­faire les lob­bys indus­triels les bureau­crates brux­el­lois ont imposé un change­ment de plaques minéralogiques aux véhicules européens. Jus­ti­fi­ca­tion: l’u­ni­for­mité. Enten­dre: la destruc­tion du sen­ti­ment d’ap­par­te­nance. Un Andalou doit ignor­er que les occu­pants du véhicule voisin sont Basques, un Bre­ton que tel véhicule vient d’Al­sace. En France, devant les protes­ta­tions de quelques députés en mal de dis­cours, une direc­tive autorise les déten­teurs de plaques à indi­quer le départe­ment de leur choix. Ce qui prou­ve que seul importe la créa­tion arti­fi­cielle d’un marché.