A vélo à l’heure où les clochers appellent à la soupe. Les chantiers, les bureaux se vident. Je me faufile. Puis tout le canton mange et je pédale à bonne vitesse jusqu’à la Cité d’Ogoz. Ensuite c’est le trafic habituel des jours de semaine, camions et camionnettes, femmes en commissions et ribambelles d’ouvriers qui perforent la chaussée. Quatre heures et demie sous la pluie pour le porte à porte Fribourg-Genève.