Fasciné par la stabilité, que j’aime et qui ne m’intéresse pas. Il y faudrait une vocation religieuse. Une ancre. Une maison où fixer son bonheur, des chambres pour les être aimés, des lieux de partage, de vie, une table ronde des avenirs. Cela me fascine et je crois l’aimer et je l’aime, mais force est de revenir au mouvement premier : ça ne m’intéresse pas. Le mouvement, cette malédiction du mâle, est l’unique perspective. Déjà me font peur les moments de chute, déjà me ravissent les moments de joie, mais adhérer à la fausse tranquillité c’est adhérer à un forme anticipée de mort.