Jeunes français ivres comme tout les clients de ce bar de Clichy, mais qui, après avoir sympathisé avec deux touristes allemands, lesquels les ont entrepris et leur on offert une tournée, et qui s’efforcent de parler en français, leur font soudain reproche de la guerre et de l’occupation. Les allemands blêmissent, se consultent, se rencognent, paient, s’en vont. Ayant suivi la scène dans les deux langues, je fais au jeune parisien la remarque de son imbécillité. Ses copains qui n’ont pas suivi le tancent.