C’est bien tard que j’ai com­pris la nature femelle de la femme. D’ailleurs, il est incom­préhen­si­ble. Le charme serait rompu et il n’y a nul signe qu’il se rompe. Aupar­a­vant je le voy­ais par moment comme on ver­rait en eau vive briller le dos d’un pois­son qui se tourne.