Avant qu’ils ne nais­sent je dis­ais de mes enfants, à qua­torze ans je les lais­serai libres. Dan un peu plus d’un an Arto aura cet âge et je vois dans quels chemins ils se four­voierait si je fai­sais comme j’ai dit, ados­sant ses vues à d’autres gamins mieux aguer­ris mais pas plus clair­voy­ants. Cepen­dant, sur le principe, je ne change pas d’avis. La lib­erté de s’ou­vrir à la société devrait com­mencer à qua­torze ans. Par cet exem­ple, la dis­tance entre ce qu’on croit juste et ce qu’on fait est bien mesuré.