Une bib­lio­thèque que je décou­vrais offrait une sec­tion philoso­phie. La ville qui l’abri­tait, petite et provin­ciale, rendait extra­or­di­naire l’ex­is­tence d’uen telle sec­tion. A mesure que j’a­vançais à tra­vers le ray­on­nage de la bib­lio­thèque, mes spécu­la­tions m’a­me­naient à réduire le nom­bre de vol­umes de la sec­tion. Puis je me ras­sur­ais: si la bib­lio­thèque a pris soin de créer une sec­tion, c’est qu’il y a au moins un livre de philosophie.