A Strasbourg où Didadactures est lue par une troupe du théâtre municipal, la metteur en scène, à l’heure du débat ‚déclare le texte superficiel. Je dis “oui”. Elle tient pour un défaut une volonté. Ce qui la chagrine c’est l’absence de message. On est faibles avec les idiots. L’étant moins j’aurais pu l’adresser au parti communiste.