La vente de l’exotisme par les agences de voyage assortie des shémas circulatoires de la mondialisation annulent la possibilité de rencontrer l’étranger. L’étranger n’a jamais été aussi étrange. Dans le pays où l’on voyage, il est en coulisse, inaccessible, dans le pays où l’on vit, au premier plan, inassimilable.