A la sortie de l’aéroport de Barcelone, recherche dans les monts de Girone d’un camping introuvable, à nouveau la route principale est coupée. Quand j’aboutis par une piste en forêt, réception et bar fermés, mais la propriétaire interrompt son repas, ouvre la barrière, me parle de son voyage à Budapest après que j’ai indiqué vivre en Hongrie. J’installe le van entre des troncs, je sors ma table et bois de la bière. De part et d’autre des couples à vélo, l’un polonais qu’accompagne un bull-dog, l’autre frère et sœur anglais qui part à la conquête des Pyrénées sans avoir tracé de vraie route (ce que je fais le lendemain pour eux, par mail, depuis la Côte-d’Azur).