Peu de livres ce matin. Une Anthologie des manifestes du surréalisme éditée par J‑J. Pauvert, une Critique de Baudelaire chez Corti. Le reste, bon pour la gare. Le lendemain, j’y retourne, c’est pire. Sur l’entier du terrain, un unique carton de livres. La jeune fille qui tient le stand me lance: “servez-vous c’est gratuit!”.