Réveil tardif, long café, consultation des nouvelles. Gala dans les étages de l’hôtel afin d’obtenir serviettes et papier sans avoir affaire au service. Les cloches du campanile sonnent encore et encore sous le nid de cigogne, il est bientôt trop tard pour le restaurant, même à l’horaire espagnol deux heures et demie, trois, quatre heures. Lorsque la chaleur retombe, petite promenade dans la rue centrale de Soria, la rue piétonne, l’unique rue puis retour dans la chambre d’hôtel pour le vin et la bière au coucher de soleil.