A Piedralma avec Evola. Milans au ciel, chats sur terre, pluie abondante. La rivière monte, je ne me méfie pas. Dès la seconde nuit, je suis bloqué. Le jour je nettoie le van et dresse les plans de ma future cabane, le soir, après une marche sur le plateau (100’000 mètres que le paysan vient de tondre), nous buvons soue la parasol, Evola cuisine des choses fortes, nous regardons l’Europe s’effondrer.