Effacement 2

Que sig­ni­fie “vis­iter des ruines”, écrivais-je à pro­pos du site de Calak­mul. C’est pein­er devant des ves­tiges pour imag­in­er ce qu’é­tait la vie des indi­vidus plongés dans la jun­gle et les super­sti­tions, la guerre et les tech­niques, le soleil, la lune et l’eau. La rup­ture est com­plète. Du même ordre que celle qui met­tra fin à la présence en scène de nos sociétés d’âme, d’e­sprit et de cerveau au prof­it d’un “autre” dont nous sommes aus­si inca­pables d’imag­in­er la nature que nous sommes, quand nous pas­sons des heures à “vis­iter des ruines”, inca­pables de se représen­ter la vie maya.