Chacaua

Dès le deux­ième jour je vois que je n’au­rai pas le temps de me ren­dre sur le côte de Oax­a­ca. Une plage rete­nait mon atten­tion, Cha­caua. Si j’ai com­pris, unique­ment atteignable en bateau. Ceux qui don­nent ce con­seil l’ont fréquen­tée il y a longtemps, donc il faut voir (j’é­tais moi-même à Puer­to Angel en 1986, don­nerais-je aujour­d’hui sans autre le con­seil d’y retourn­er?). Mais Tol­do s’en­gage : « je crois que tu pour­rais essay­er ». Sauf que j’ai des ren­dez-vous dans la cap­i­tale pour récupér­er mes com­man­des pro­fes­sion­nelles, cas­quettes, manuels, auto­col­lants et surtout des affaires admin­is­tra­tives (dont je ne peux par­ler ici) qui dépen­dent plus des inter­mé­di­aires que de mon énergie. Ain­si mieux vaut jouer sur le ter­ri­toire autour de l’hô­tel Plaza Rev­olu­ción puis décrire des cer­cles de plus en plus large dans Mex­i­co, à pied d’abord, en métro ensuite.