Mexico et son désordre consistant : j’aime. Chacun vaque, nul ne se soucie, il y a déjà bien assez de problèmes sans s’occuper des autres. Mais aussi, il y a « cooperación ». Au ras du trottoir, les mendiants éclopés, la fille-femme son nouveau-né au sein, l’ivrogne qui dort face contre terre ; debout, ils luttent, le pousse-manivelle de l’orgue de barbarie, l’aveugle qui chante les yeux au ciel, le vendeur d’eau, et celui qui reçoit peu donne ce qu’il peut, c’est cela la « cooperación ».