Grand soleil sur Agrabuey. Quelques moutons dans les pacages. Au loin l’aboi des chiens de chasse. Nichés la semaine, mais calmés par les battues d’automne. Dans le cœur du village, une tranquillité de pierre que seule rompt une fois l’heure une fois la demi-heure la cloche des anciennes écoles. Au jardin je soulève, je pompe, je tire, je m’étire. Puis je fais un pain et cuisine avec Gala en buvant de la bière ou du vin. Au crépuscule, nous allons sur le bord de la rivière, marcher quelques pas, cueillir du bois tombé, saluer les voisins.