L’homme qui s’ennuie ignore qu’il est fait pour le travail. Si la société est un machine, c’est le travail qui assure son fonctionnement. Or, quand vient à manquer le travail, l’ennui qui lui succède est un vice technique. Lequel dérègle le fonctionnement de la machine. Sauf à renoncer au paradigme de la machine pour la mise en route et la supervision des sociétés (ce qui est urgent), il faudra créer du travail, même inutile, afin de limiter la multiplication des vices techniques.