Les loisirs de consommation comme compléments à l’abrutissement du travail industriel (lecture de Adorno et Horkheimer) ou même activité central dans le dispositif de production ne peuvent prétendre neutraliser les vices techniques liés à l’ennui dès lors que le travail est découplé de l’effort. C’est le travail en tant qu’effort qui à la fois neutralise l’ennui et justifie le loisir.