Lettres

Paul Léau­taud, dans une note de 1897: “Chez l’épici­er, une cliente: “Des pâtes. Don­nez-moi des let­tres, ça amuse les enfants.” Michel Leiris en par­le aus­si, je crois dans l’Age d’homme ou dans Lan­gage Tan­gage. Est-ce que cela se fait encore? A Helsin­ki, Mamère nous ser­vait des bouil­lons aux let­tres. Il y avait très peu à manger car les car­ac­tères étaient petits, mais quand je les recueil­lais dans la cuil­lère à soupe j’en oubli­ais com­plète­ment que je mangeais.