Bras 2

Rien à faire, je balade ce bras comme s’il était fait d’une toute autre matière, comme s’il avait cessé de faire par­tie de mon corps. Je le porte. Comme cela suf­fit, je vais chez le phys­io­thérapeute. C’est une femme. Elle me fait couch­er. Elle me relève : “je ne peux rien faire, ren­dez-vous tout de suite aux urgences!”.