Rien à faire, je balade ce bras comme s’il était fait d’une toute autre matière, comme s’il avait cessé de faire partie de mon corps. Je le porte. Comme cela suffit, je vais chez le physiothérapeute. C’est une femme. Elle me fait coucher. Elle me relève : “je ne peux rien faire, rendez-vous tout de suite aux urgences!”.