Après

A ces chiffrages, courbes, mesures de l’ef­fort, je ne con­nais rien donc je n’y ai pas même songé (pour­tant, sur les con­seil des amis j’ai toute la bas­tringue élec­tron­ique du cycliste mod­erne afin de robo­tis­er cerveau, corps et cœur), mais voilà, j’é­tais amol­li, incer­tain, peu capa­ble, sin­ueux donc quelque peu inqui­et et main­tenant je vois ce que c’é­tait, je me vois: ce ven­dre­di, sept jours après la fin des 1250 km, solide comme la pierre — fin de récupéra­tion, pas néces­saire si l’on roule à l’in­fi­ni, mais qui le devient, néces­saire, si l’ef­fort cassé, l’on fait son retour dans l’autre rythme, celui de la vie reposée et fixe et appareil­lée à l’hor­loge universelle.