[] deux civilisations antagonistes se partagent la tragédie de la fixation. Celle du blé, et celle du maïs. Ne parlons pas ici du blé []. Le maïs c’est l’Amérique originaire, la terreur et la hantise de la pourriture, de la mort éternelle. Maïs, figures convulsionnaires, totems du cauchemar aztèque. Le maïs est soleil de la mort, de même que le blé représente le soleil de la vie. Par le blé, on communie sous les espèces de la vie. Par le maïs, sous les espèces de la mort. (Dominique de Roux, Immédiatement).