Paco, ou encore Maître Francisco, mon personnage d’ébéniste à la couille enflée vit son destin à raison de trois ou quatre pages écrites chaque jour. Enfin réchappé de la chasse à l’homme que menaient les compagnons, il est en forêt, dans un état lamentable, mange des glands et doute ne jamais pouvoir renouer avec sa passion, la construction de tables.