Naïf, il faut l’être au plus haut point pour penser qu’un virus attaque ces jours les assises de notre société. Et définitivement con pour croire que les pouvoirs vont remédier à la situation. Ils la créent et l’entretiennent. Les gens meurent? Hélas. Puis quoi? Est-ce nouveau? Questionnez-vous! Qu’y a‑t-il de nouveau dans cette affaire? Dans tous les cas, pas les morts — surtout en nombre si petit. Vieux déjà, je disais hier à mes enfants: “si je meurs, cela n’est que ratio. Songez à votre avenir!”.