Si les corps menacés par la mise à l’arrêt de toutes les passions ne lutte pas — vite — contre la mise en place des nouveaux schémas de contrôle et de commande créés par des fous, l’homme tel que nous le connaissions en sera réduit — avant annihilation — à une conscience de liberté logée dans un espace intime minuscule et non-communicable (cela pour notre génération du XXème siècle et une poignée d’heureux épigones dépositaires de ce qu’il reste de 2000 ans d’humanité travaillée les autres individus étant d’ores et déjà transformés en unités fonctionnelles).