Tenté par un essai intitulé Le coq d’Asclépios (dans l’Apologie de Socrate, avant de rendre l’âme, Socrate que la Cité à contraint à boire le ciguë déclare - je cite de mémoire – « nous devons un coq à Asclépios ») qui montrerait l’importance de la parole donnée comme fondement d’une relation sociale orientée vers le bien commun par opposition au régime actuel de juridicisation des rapports.