Il faut trois générations d’individus en état d’abnégation, d’individus qui ont délégué leurs pouvoirs de vivant à des administrateurs, d’individus qui n’ont plus de rapport à eux-mêmes, pour aboutir à la situation actuelle: des entités assez dégénérées pour se demander si, contre le bon sens et le constat, il ne convient pas, en dépit de l’ignorance et l’arbitraire des administrateurs, de confirmer leur droit de contrôle sur le corps et l’esprit, donc la liberté.