Cette femme, Claudine Gaetzi, qui impose un thème à votre contribution littéraire et vous dit que pensez, que n’écrit-elle pas tous les textes de sa revue? Bien sûr: elle doit faire accroire à l’Etat que la revue publie les “écrivains suisses” donc représente la “littérature suisse”. Moi, pour Fr. 4000.- la page, j’écris volontiers sur commande et sur la famille: “Ce dimanche-là, papa, qui déjà n’aimait plus maman…”.