Qui sait que l’ennemi de nos libertés, ce chancre suisse que je proposais déjà d’enfermer il y a vingt-trois ans, le haut nihiliste Klaus Schwab, clown violent au service des violents, vient de publier fin juillet un livre dans lequel il annonce le monde d’après l’épidémie tel qu’il doit être, c’est à dire tel qu’il le veut, c’est à dire tel que les meilleurs voyous du monde le veulent ? D’autant plus décidé qu’il va mourir dans quelques mois, vieux, affaibli, sans autre morale que l’argent et la malfaisance, il affirme : “Beaucoup d’entre nous réfléchissent au retour à la normale. La réponse est: jamais.”.