Vieilli, faiblard, délirant peut-être, je pourrai toujours écrire une histoire du monde qui se déroulerait dans la rue du Quartier des Champs (longue de cinquante mètres) avec pour personnages le chien Cierzo et les voisins, et perchée au-dessus de nos têtes, l’église entourée de ses morts de la guerre civile aux tombes jaillissant de fleurs.