Quand vous naviguez sur un grand vaisseau, avion ou navire, vous n’avez aucune influence sur le régime des rythmes, air ou chaufferie. Dans les immeubles suisses, c’est pareil. Boulonnés au paysage, ils vous contiennent et vous imposent leur machinerie. Dans mon immeuble de montagne, je subis une chaleur en chambre digne d’un asile de vieillard alors que mon frigorique est sibérien.