Marchand de lames dans le chef-lieu, Doublot se retira aux îles Pompoms pour y cultiver le gingembre. Au soleil déclinant, après des longues journées aux champs, il aimait siroter avec d’autres Français un cynorrhodon et jouer au jass. Le samedi, il avait coutume d’appeler Madame Jolie pour retenir Marie-Nihn. Or, ce soir-là, sans dire son nom, un homme expliqua à Doublot que la protégée avait disparu.