Si on ne peut accéder au niveau supérieur (il est, avant destin famélique, réservé aux religieux), j’avoue que j’en ai assez de voir les mêmes voisins, faire les mêmes promenades, accompagnés des mêmes chiens (interdits d’aboiements) et qui n’ont, par décret gouvernemental, à ce qu’ils pensent, maîtres et chiens, pas le droit de parler ni d’aboyer à l’air libre et donc passent, à quatre pattes, la mine basse.