Des articles dans la presse quotidienne sur H+. Je m’en réjouis. Or, les librairies sont fermées. J’écris à mon éditeur par amitié, mais plus encore pour me soucier de son sort, lui qui vit dans un quartier que je crois (sans recul je l’avoue, n’étant pas Parisien), difficile. Il me rassure, et dans le même temps fait état de son inquiétude pour l’entreprise de publication, aux moyens financiers subtils, ces jours garottée par les circonstances.