Hier, sur les dix-huit kilomètres qui sépare la station des bus du village d’Agrabuey, pas un véhicule, ni dans un sens ni dans l’autre. Naïvement je songeais: pour peu que personne en m’ait vu venir, je pourrais après installation effacer ma trace (ayant bénéficié du même avantage de circulation, les voisins n’y verraient rien à redire).