Ou escaliers roulants, comme disait ma grand-mère. Les Birmans peinent à prendre pied sur les marches. Ils visent, hésitent, visent encore. Il s’y mettent à deux ou trois, en se tenant par le bras. A l’aéroport de Rangoun, j’ai vu une mère et sa fille renoncer. Cependant, les avions partaient du premier étage. Le nez levé, elles fixaient dépitées la porte d’embarquement, et l’obstacle.