Sur la mer d’Albóran, flux incessant de pneumatiques chargés d’Africains qui avec l’aide des secours en mer espagnols débarquent les mains dans les poches, prêts à être lavés, logés et entretenus avant de semer la zizanie, molester, voler, selon les cas violer, conformément à l’apprentissage atavique, ce que que le gouvernement national sous tutelle mondiale du demi-putchiste Pedro Gonzalez s’empresse de faire contester en mandant ici et là des journalistes rendre compte d’attroupements qui crient à la xénophobie (je ne serais pas surpris que ce personnel, du reste en petit nombre, soit rétribué).