Eux appelaient encore cela le monde, les grands relativistes, ces consciences majeures, et pas seulement les philosophes, les aventuriers qui s’étaient, les uns par la force de l’intelligence, les autres par la force de l’action, libérés de Dieu et de l’horlogerie des religions, mais nous, comment pourrions-nous appeler le monde sinon société, somme intégrée de circuits dont nous sommes à la fois les créateurs tristes et les particules dynamiques?