Démocratie — de merde

Dans les villes d’Eu­rope, les man­i­fes­ta­tions se suc­cè­dent. Mobil­i­sa­tions cour­tes. Peu d’in­di­vidus. Je dirais: orchestrées. Des pro­fes­sion­nels. Côté pub­li­ca­tion, de même. L’orchestre. Pour la par­ti­tion, on sait qui est la tâche (les intri­g­ants qui en coulisse pré­par­ent la gou­ver­nance mon­di­ale, autant dire la destruc­tion du peu­ple). Il n’est que de voir les pan­neaux que bran­dis­sent les con­tes­tataires: tous de la même hau­teur, de la même taille, du même car­ton, por­tant trois ou qua­tre slo­gans pen­sé lors d’une réu­nion de bureau.