Simple

Le temps est venu de trou­ver des solu­tions, des remèdes et des moyens d’op­po­si­tion. La con­science, mys­térieuse donc riche est indé­mon­tra­ble — ce que démon­tre chaque jour, afin d’en épuis­er l’usage, les ten­ants du machinique. Dans un régime d’ac­céléra­tion générale du dis­cours par le numérique, ils pour­raient bien per­suad­er ceux qui, innom­brables, tien­nent pour sim­ple argutie de philosophes cette ques­tion qui engage rien moins que l’avenir de l’e­spèce humaine. Exacte­ment: l’ap­pareil­lage des com­porte­ments pos­si­bles de l’être humain au champ d’ex­pan­sion des algo­rithmes. Ici, je ne vise pas notre survie, mais bien notre qual­ité de la vie et la péren­nité de “l’homme approx­i­matif” tel qu’il résulte de la cul­ture et des émotions.