Autrefois, il s’agissait de sauver son âme. Aujourd’hui, il s’agit de sauver son esprit. Placé devant les exigences de l’intemporel, le sujet moral procédait à d’incessants ajustements. Condamné à une temporalité sans horizon il doit procéder, pour demeurer moral, à d’incessants désajustements.