Au large de l’Italie avancée, une petite centaine d’envahisseurs tenus en respect à des fins politiciennes par un Catalan au nom des Droits de l’homme. Certains, que l’on dit “désespérés” par dix-huit jours d’attente (mesure qui relativise la situation désespérante qu’ils prétendent fuir), se jettent à l’eau. L’île de Lampedusa est à 800 mètres. Ils ne savent pas nager. Est-ce grave? Non. Ils ne savent pas lire. Ni écrire. Est-ce grave? Ne parlent aucune langue continentale. Savent à peine se laver. Prient. Châtient volontiers les incroyants. Cependant, on nous conte ceci: ils sauront s’intégrer à notre société hypersophistiquée. A titre de comparaison immédiate, mon fils, gradé à l’armée, bachelier et qui parle deux langues, ne trouve pas de travail. Qu’est-ce que le progressisme? Une idéologie qui, bien récupérée et travestie par des vampires de la politique, prétend imposer au peuple (le nôtre) un schéma de renoncement complet à ses prérogatives, sa liberté et son avenir et cela moyennant une agit-prop (celle par exemple de ce Catalan cynique) payée par notre travail via l’impôt. Un milliard deux cent millions d’Africains attendent de participer activement, avec les moyens personnels que nous avons vu, à notre société “progressiste”.