Afro-progressisme 4

Au large de l’I­tal­ie avancée, une petite cen­taine d’en­vahisseurs tenus en respect à des fins politi­ci­ennes par un Cata­lan au nom des Droits de l’homme. Cer­tains, que l’on dit “dés­espérés” par dix-huit jours d’at­tente (mesure qui rel­a­tivise la sit­u­a­tion dés­espérante qu’ils pré­ten­dent fuir), se jet­tent à l’eau. L’île de Lampe­dusa est à 800 mètres. Ils ne savent pas nag­er. Est-ce grave? Non. Ils ne savent pas lire. Ni écrire. Est-ce grave? Ne par­lent aucune langue con­ti­nen­tale. Savent à peine se laver. Prient. Châ­tient volon­tiers les incroy­ants. Cepen­dant, on nous con­te ceci: ils sauront s’in­té­gr­er à notre société hyper­so­phis­tiquée. A titre de com­para­i­son immé­di­ate, mon fils, gradé à l’ar­mée, bache­li­er et qui par­le deux langues, ne trou­ve pas de tra­vail. Qu’est-ce que le pro­gres­sisme? Une idéolo­gie qui, bien récupérée et trav­es­tie par des vam­pires de la poli­tique, pré­tend impos­er au peu­ple (le nôtre) un sché­ma de renon­ce­ment com­plet à ses prérog­a­tives, sa lib­erté et son avenir et cela moyen­nant une agit-prop (celle par exem­ple de ce Cata­lan cynique) payée par notre tra­vail via l’im­pôt. Un mil­liard deux cent mil­lions d’Africains atten­dent de par­ticiper active­ment, avec les moyens per­son­nels que nous avons vu, à notre société “pro­gres­siste”.