Ces gens-là, assis à une table que nous payons, sans autorisation populaire, dans une formation de parole illégale, osent vanter les plats que leur sert “le plus grand chef” — je reprends les termes de la presse — du pays basque français. Pour moi, j’ai le souvenir de mes voisins de Gimbrède, lui maçon, elle balayeuse, qui me confessaient faire des provisions de surgelés aux périodes de promotion — pour tenir. Cela en 2003.